jeudi 1 septembre 2016

Les disparus du phare, Peter May, 2016, Rouergue noir, 315 Pages.



Il s’agit d’un auteur que je ne connaissais pas et j’ai vraiment apprécié ce roman policier qui possède un excellent suspense.
  Le narrateur amnésique, trempé jusqu’aux os après ce que l’on imagine être un naufrage ne sait plus - naturellement- ni qui il est, ni ce qu’il fait dans cet état, dans ce lieu perdu, une île sauvage des Hébrides.
  Des rencontres successives vont l’aider à cerner son identité. Très progressivement sa mémoire va revenir.
  D’autres personnages, présentés par un narrateur externe, vont participer à l’intrigue et en renforcer la tension dramatique.
  Bien sûr, notre premier narrateur personnage  va découvrir un cadavre : mais qui est-il ? et qui est le meurtrier ? Est-ce lui?
  Autre question qui interroge tout au long de l’histoire : pourquoi ce titre ? autre mystère ? Quel lien entre la disparition des trois derniers gardiens du phare et le cadavre ?

 Le rythme est haletant jusqu’à la fin du roman, sans noirceur excessive, avec même une sorte de « happy end ».
  J’ai apprécié ce thriller original dans son genre.







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